Mémoires en conflit et révolution 27 . 04 . 24 25 avril 1974. Cinquante ans et quelques leçons Jyhane Kedaz
Les œillets, et tout le reste ! 27 . 04 . 24 « Une révolution totale ». Entretien avec Raquel Varela Raquel Varela
Le scénario du pire 27 . 04 . 24 De Rafah à la criminalisation de la solidarité : deux faces d’un génocide par procuration Nathan DeasEnzo Tresso
L’université, la dictature et les colonies Coimbra 1969, quand les étudiants font trembler le régime Carolina Quaresma À la fin de la dictature salazariste (1933-1974), le mouvement étudiant au Portugal est rythmé par des moments de contestation et de mobilisation, plus ou moins intenses au sein des universités, appelés « crises étudiantes ». Parmi ces « crises », la plus marquante est sans doute celle de Coimbra, en 1969, véritable porte d’entrée du pays dans les « années 1968 » et signe avant-coureur de la Révolution de 1974.
[Bonnes feuilles] Révolution portugaise. Les luttes paysannes, facteur de radicalisation Ugo Palheta Il y a cinquante ans, le 25 avril 1974, s’effondrait la plus longue dictature fasciste d’Europe. Longue de dix-neuf mois, la révolution portugaise voit les masses ouvrières, paysannes et populaires se mobiliser de façon impressionnante. L’un des aspects centraux de ce processus, ce sont les luttes paysannes, véritable facteur de radicalisation révolutionnaire à partir de l’été 1975. Ce sont ces dernières qu’Ugo Palheta analyse dans cet extrait tiré de son livre Découvrir la révolution des Œillets. Portugal, 1974-1975 qui vient de paraître aux éditions sociales.
Lecture Sous la transition, les mines Seb Nanzhel Dans La ruée minière au XXIe siècle, Célia Izoard analyse l’explosion de l’extractivisme minier justifiée par la « transition énergétique. Si son enquête permet de cerner efficacement le problème écologique et géostratégique que pose cette ruée minière, la journaliste ne parvient toutefois pas à dégager des perspectives à la hauteur des enjeux.